Les “signes extérieurs de bienveillance” ne sont pas la reconnaissance de la qualité d’un bon avocat.
Ils sont outrageusement tentants lorsqu’on vous êtes submergés par les émotions engendrées par une procédure judiciaire. Ces promesses, vous ne les trouverez pas dans mon cabinet, du moins pas sous cette forme. Pas par manque d’intérêt, de compassion ou d’humanité. Simplement par respect de la tâche qui m’incombe et de la responsabilité qui est la mienne dans le succès réel de votre affaire.
Défendre vos intérêts en tant qu’avocat, c’est avant tout un acte moral, qui implique une parfaite exigence, aussi bien vis-à-vis de mon travail, que vis-à-vis de vous. C’est, pour moi, le premier signe de l’intérêt réel que l’on porte à la défense effective de votre affaire et de la bienveillance que l’on porte à votre égard.
En quelques 10 années d’exercice en tant qu’avocat au barreau de Draguignan, je ne me souviens pas une fois avoir avancé qu’une affaire serait “facile à gagner”. En revanche, j’ai foi en ma parfaite connaissance de mes dossiers, en l’élaboration des axes de défense et ce, conjointement avec mes clients, en ma capacité d’analyse et de réactivité, ce qui me permet d’avoir confiance dans la quête du résultat recherché et souvent obtenu. Ceci implique donc nécessairement effort, ténacité et rigueur, qualités qui sont les miennes.
En quelques 10 années d’exercice en ma qualité d’avocat au barreau de Draguignan, je ne me suis pas d’avantage engagée dans une procédure sans avoir pleinement informé mon client sur les tenant et aboutissant envisageables.